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Leur "sérénité" ça peut aussi vous mener à cela !!!

amnevillerenaissance@netcourrier.com Une bataille a été perdue mais la vérité triomphera des mensonges et des combines

samedi 12 juillet 2014

Apres les 100 jours il y eut Waterloo...

Tiens ça commence  mais qui donc a été mis à pied ? Les amnévillois veulent savoir ! 

Alors à quand la suite car au lieu de filer 1 800 000€ au   Galaxie pourquoi pas  une plainte en bonne et due forme  histoire d'avoir une petite idée où est passé tout l'argent ? 

http://amnevillerenaissanceverite.blogspot.fr/2013/08/le-galaxie-va-se-redresser-enfin.html

Autres choses :

le laitier qui a eu l'argent du laitier  soit environ 1 000 000 € ? 

 Article du RL en 2012 :


Suite à une dénonciation de faits par la mairie d’Amnéville, le parquet de Metz a diligenté une enquête préliminaire pour en savoir un peu plus sur les pratiques financières de l’Association du centre de loisirs.

D es poursuites judiciaires, c’est possible… Si on se rend compte qu’il y a eu malversations et détournements de fonds, il est clair que je prendrais mes responsabilités. Si je ne le faisais pas, je cautionnerais la façon de faire et je serais hors la loi. »
Comme pressenti lors d’un long entretien qu’elle nous avait accordé en février, la première magistrate d’Amnéville est passée de la théorie à la pratique la semaine dernière en rencontrant le procureur de la République de Metz pour lui faire part de soupçons de malversations de membres emblématiques de l’ancienne équipe municipale, dont elle était la première adjointe.
Dès son élection en octobre 2011, suite au décès de Jean Kiffer, Doris Belloni s’était promis de jouer la transparence sur le fonctionnement de sa commune en pourchassant les bizarreries d’une gestion alambiquée et à chausse-trappes.
Les sept premiers mois de son mandat lui ont servi à décortiquer les livres de comptes ainsi qu’à décrypter les interactions financières entre la mairie et les structures paramunicipales.
Cet examen scrupuleux aurait laissé apparaître des anomalies, notamment en ce qui concerne l’Association du centre de loisirs (ACDL) d’Amnéville qui ne gère plus que la Taverne du brasseur, l’Atomic bowl (le bowling d’Amnéville) et les chalets du lac, après avoir été le bras armé de Jean Kiffer dans la zone thermale.
D’ailleurs, le docteur la couvait comme son enfant. Il l’a présidé dès sa création et en a confié les rênes en 2002 à l’un de ses plus fidèles lieutenants, son chargé des finances, Jean-Marie Zimoch. Tout en tenant les cordons de la bourse d’Amnéville, ce dernier avait pour tâche de développer des équipements dans le centre de loisirs et de veiller au grain.
C’est à lui et à l’association qu’il dirige, contre un confortable salaire, que la justice pourrait s’intéresser dans les prochains jours.

Du laitier revendu sous le manteau ?

En effet, après le signalement au parquet de Metz, la semaine passée, le procureur de la République a requis l’ouverture d’une enquête préliminaire visant à retrouver la trace de certains fonds municipaux qui auraient été aiguillés vers l’ACDL alors qu’ils étaient attendus en mairie. Des questions se posent, notamment, sur la revente du laitier du crassier appartenant à la ville. Selon une source proche de l’enquête, à partir de 2008, des camions entiers de ces vestiges de la sidérurgie, réutilisés dans le terrassement par les sociétés de travaux publics, auraient été chargés et payés à l’ACDL par deux entreprises de BTP. Le laitier étant vendu 4 € la tonne, le manque à gagner présumé pour la commune d’Amnéville friserait le million d’euros.
Un préjudice dont il reste à prouver l’existence, car l’organisation des flux financiers du temps de Jean Kiffer ne respectait pas toujours l’orthodoxie budgétaire requise dans la conduite d’une collectivité.
Ce qui explique que Jean-Marie Zimoch a paru, hier, stupéfait par l’intérêt que portait la justice à l’ACDL. Pour lui, l’association n’a, en effet, rien à cacher. Même pas du laitier… « Il correspond à l’aménagement du lac et de la plate-forme devant accueillir les chalets », rapporte le directeur de l’ACDL, qui était mandatée pour « s’occuper du financement de l’opération ». À ce titre, elle a donc encaissé la commercialisation du laitier qui devait être évacué, mais « pas pour un million d’euros ». Bien qu’elle semble penser le contraire, la mairie d’Amnéville n’a pas souhaité, hier, commenter cette affaire.
Thierry FEDRIGO et Cécile PERROT.


Amnéville festivités à quoi et à qui ont servi les retraits en liquide de 2010 et 2011 ?

Snowhall qui sortait les cartons de boissons sans les payer au Galion  et pourquoi toutes ces annulations de facture  en repas offerts ?

Pour finir une petite analyse pour l'office de tourisme par exemple et surtout sur certaines sociétés qui gravitent autour (de la masse de fric). 


Voila des idées qu'elles sont  bonnes non ? 

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